Élodie Parcours DUne Ado En Chaleur - Partie 24
Lorsquelle sort de limmeuble, Élodie aperçoit Serge sur un bolide vrombissant. À linverse de Mr. Péqueur, Serge chevauche une sportive équipé de son cuir et de son casque intégral, il tend un casque bol et un cuir blanc à liserets roses à la jeune fille.
Surprise de voir le quadra sur une moto, Élodie regrette son choix vestimentaire. Sapprochant de son maître de stage, elle est sur le point de lui demander si elle peut aller se changer, mais elle note instantanément lair presque irrité de son voisin au chien.
-Bon allez bouge ton pti cul ! On est déjà à la bourre. Lui dit elle, la voix étouffée par le casque.
-Oui, jarrive !
Dun air renfrogné de gamine, ladolescente passe la veste, et enfile le casque avant de passer sa pochette en bandoulière et denjamber la selle pour sinstaller derrière son chauffeur. « Putain de jupe ! » La petite jupe en cuir est à peine trop serrée et remonte le long des cuisses nues lorsquÉlodie sinstalle.
Élodie tire sur le cuir pour le coincer sous son cul, mais le vêtement tendu sur son derrière refuse de rester en place. Les cale-pied en position haute imposent à la gamine de se cambrer sur lassise arrière, à cause du retard de la jeune fille, le voisin roule plus vite que de coutume, forçant Élodie à sagripper au motard plutôt quà maintenir sa jupe en place.
Mais cest aux feux tricolores que la gamine prend conscience de lexposition de son cul. Elle subit le regard des automobilistes et le courroux des meufs qui linsultent dallumer leurs mecs. Dabord gênée de cette attention, ladolescente se met rapidement à jouer de ses atouts, et profite davoir le derrière à moitié découvert pour allumer passants et conducteurs.
Elle sourit intérieurement des changements qui sopèrent en elle depuis que le corbeau est entré dans sa vie. Elle a découvert tellement de choses sur elle-même et sur sa sexualité quelle sen sent plus épanouie quelle ne la jamais été.
La journée qui lattend est tout aussi prometteuse. En effet, à peine arrivés au pied des bureau de lassociation de réinsertion pour anciens détenus, le personnel uniquement masculin nest pas avare dattention pour la jeune fille. À commencer par Mr. Coulomb, le chef du service de Serge qui est aussi responsable des dossiers de réinsertion. Cest avec lui quÉlodie passe son premier entretien.
Le breton trapu au gros ventre débordant de sa ceinture et au caractère sévère laisse une terrible impression à ladolescente qui se sent toute petite lorsquelle entre seule dans son grand bureau. Élodie jette un dernier coup dil à Serge qui lencourage depuis son bureau, dun regard rassurant.
Lhomme sait y faire, son charisme et son sale caractère opèrent instantanément sur Élodie qui redevient instantanément une petite fille faisant face à un instituteur sévère. Ladolescente nose même pas croiser le regard sombre de son chef, ses petits yeux lauscultent sous toutes les coutures.
Gênée, la jeune fille passe machinalement son bras droit sur sa poitrine, et sa main sur sa jupe comme si elle pouvait lallonger pour cacher ses formes généreuses. Et le plateau en verre de lénorme bureau du breton ne lui permet même pas de cacher sa pudeur.
Après une heure dentretien, Mr. Coulomb propose à Élodie de faire une semaine dessai pour voir si elle convient pour le poste, et si elle sintègre à léquipe soudée de ces hommes de valeur dont il semble très fier. Ladolescente ne peut retenir un sourire de soulagement davoir réussi cette première épreuve.
Lorsquil la libère, il la laisse rejoindre Serge qui va passer le reste de la journée avec elle afin de lui expliquer les responsabilités de leur petite entreprise.
-Le bougre na encore jamais accepté de femmes dans ses équipes, enfin à ce que jen sait bien sûr !
-Ah oui ? Lui répond telle, pas peu fière de sa prouesse.
-Bon allez vient, on va faire le tour des services et je te présente à léquipe.
À chaque service, Élodie reçoit le même accueil chaleureux, les hommes sont tous attentionnés avec la gamine, voir un peu trop parfois. Ladolescente se doutait bien quelle allait sattirer les faveurs de la gente masculine, mais elle navait pas anticiper être la seule fille de tout le personnel.
Les ressources humaines, les services sociaux, les services généraux lont tous bien reçue et la jeune fille doit bien savouer être un peu excitée dêtre le centre dattention de tous ces mâles. Même si elle regrette presque quaucun deux na même osé effleuré sa peau pourtant tellement découverte dans ces vêtements si légers.
Mais à peine a telle le temps de formuler ce « regret » que Serge lui présente Marc et Sammy les deux informaticiens du groupe. Les deux geeks au physique ingrat du cliché de joueur en ligne nont pas du tout la même inhibition que leurs collègues.
Leur bureau, à lécart du reste de léquipe, est une pure allégorie de la femme objet ; statuettes de figurines de manga aux formes généreuses et à peine dissimulées, posters de femmes fatales et de princesses guerrières pratiquement nues dans leurs costumes, fonds décran dhéroïnes danime japonais à poil,
.
Élodie sent bien quici latmosphère est bien différente des autres bureaux. Taquine, elle les teste inconsciemment en jouant du bout des doigts sur les figurines. Immédiatement, Marc la rejoint et sinterpose entre elle et la figurine, lattrapant par « inadvertance » en lui enlaçant la taille dénudée de sa paluche humide de sueur.
Le gros bibendum laisse glisser sa main sur le cuir de la mini jupe, frôlant de justesse le pli fessier dénudé de la gamine. Ce contact inattendu déclenche une vague de frissons chez la jeune fille encore sensible aux attouchements experts de son vieux voisin. Leffet est immédiat, ses mamelons se mettent à pointer à travers le fin tissu de son cache cur.
Ce détail ne passant pas inaperçu, Sammy profite du désarroi de la jeune fille pour linviter à « admirer » sa collection à lui. Le jeune guadeloupéen lenlace à son tour et, le cur palpitant dans sa poitrine de jeune geek, glisse à son tour sa main moite au creux des reins découverts dÉlodie.
Ladolescente accueille le contact avec un sourire coquin et glousse comme une chatte en chaleur, comme si elle voulait attiser les cendres chaudes dun volcan prêt à exploser. Elle a son petit effet sur le jeune homme dont lentrejambe se met à gonfler sous le bermuda pourtant bien ample ; « HUM
. Bien monté le petit on dirait ! »
-Très bien messieurs, Élodie repassera tout à lheure pour chercher son matériel. Est ce que vous pouvez vous assurer que tout sera prêt ?
-Tinquiète Serge ! Lui répond Marc dun ton assuré ; tout sera prêt !
-Nickel, merci les amis ! Leur répond lingénue sur un ton innocent.
-Parfait alors, tu me suis Élodie ? Je te présente mon équipe.
***
-Élodie ? Je te présente mon équipe, Martin, Danny, Mick et Tony. Les gars, je vous présente Élodie, une jeune stagiaire qui va passer un peu de temps avec nous.
Serge lui présente ses quatre plus proches collaborateurs, tous danciens détenus qui sont là parce quils comprennent la difficulté de la réinsertion.
-Cest lidée de Phil, Mr. Coulomb, le coup de génie qui nous permet dobtenir 100 % de succès dans notre mission.
-Et ce nest pas trop compliqué ? Lui demande telle, jetant un coup dil curieux vers les quatre hommes.
***
La tête légèrement inclinée sur le côté, Élodie est intriguée et un peu excitée dêtre entourée de tous ces mâles, un groupe de « bad boys », juste pour elle, elle les observe lun après lautre.
Elle ne reconnaît pas vraiment la lueur qui brille dans leurs yeux gourmands, comme un éclat de désir prédateur, même si elle se laisserait bien entraîner dans une spirale de désir. Serge lui montre son bureau, un petit espace un peu excentré, juste entre la photocopieuse et les classeurs rangés par années sur des étagères.
-Bon les gars, je vous la confie, vous lui montrez comment on sest organisé, moi faut que je file en réunion.
La jeune fille se sent soudain intimidée, le voisin vient de « labandonner » à un groupe danciens malfrats. Droit commun, meurtriers, violeurs, simples cambrioleurs, elle na aucune idée de ce qui a pu conduire le quatuor en prison.
À son grand étonnement, les quatre équipiers se sont montrer très avenants en labscence de leur chef, peut-être un peu trop ?
Tout dabord, le grand Tony na pas perdu de temps pour lui « expliquer comment fonctionnait la photocopieuse. Elle sen amuse un peu, comme si elle ne savait pas appuyer sur un bouton « Copy ». Mais elle joue le jeu et se laisse tenter :
-Bon si tu veux y a quelques pièges à éviter ! Lui dit il après lui avoir fait léloge de cette machine capricieuse.
Le plus jeune de la bande, une petite trentaine, lui fait contourner lappareil, la main sur la jeune hanche dénudée :
-Vas y penche toi un peu par dessus, tu le vois le câble ?
-Heu non pas vraiment
.
-Mais si par là ! Il pose sa deuxième main sur lautre hanche et laide à « regarder » derrière la machine en la soulevant légèrement.
-Ah oui je le vois ! Élodie repère le câble réseau qui connecte lappareil.
-Eh ben il merde souvent et il faut régulièrement le rebrancher !
Cest à ce moment que la gamine manque de basculer par dessus la photocopieuse, elle tend les mains en avant pour se rattr à la machine lorsque Tony plaque sa main gauche sur la poitrine dÉlodie pour la rattr.
-Eh attention ! Lenfoiré lui agrippe le sein gauche et lattire à lui, la main droite fermement ancrée sur la hanche de la stagiaire.
Il lui plaque le cul contre son bassin, et Élodie sent le rouge lui monter aux joues, légèrement échauffée de sentir la virilité de Tony gonfler entre ses fesses. Il lui plaque alors le dos contre son torse et ladolescente, troublée, sent le souffle de son « sauveur » dans sa nuque dénudée.
Elle ne peut retenir un léger soupir, la caresse du souffle chaud déclenche une légère vague de torpeur dans ses entrailles déjà quelque peu chauffées par les attouchements de léquipe informatique.
***
Sa chatte se réveille sous sa jupe courte, Élodie sent ses muqueuses shumidifier au contact du trentenaire, et des idées commencent à naître dans son cerveau de petite salope. Décidément, Tony est beaucoup plus entreprenant que les deux informaticiens, et cest Martin, le doyen à la chevelure poivre sel qui la sort de sa torpeur naissante :
-HUM
. On vous gêne pas trop là, les tourtereaux ?
Ladolescente réalise que les trois compères ont les yeux rivés sur le couple vers la photocopieuse. Tony retire sa paluche de son sein, non sans lui peloter une dernière fois, ce qui a pour effet immédiat de faire pointer dexcitation ses tétons sensibles.
La gamine ne sait plus trop où se foutre et se dirige vers son siège lorsque Martin linvite à le rejoindre :
-Bon ben puisquil faut quon te montre tout, suit moi au stock, cest à quon classe aussi les dossiers traités.
« Pourquoi est-ce que jai limpression quil na pas juste envie de me montrer les stocks lui ? » Élodie ne peut réprimer la pensée que ce regard un peu évasif cache dautres intentions. Et elle ne sy trompe pas, lorsque le quadra à la barbe hirsute lui ouvre la porte débarras, il linvite à le précéder sans se gêner de glisser une main potelée dans le creux de ses reins.
Lorsquil se tourne pour fermer la porte derrière eux, la jeune fille nen mène pas large. En faisant demi tour, le barbu se permet même de laisser glisser sa main sur le cul de la stagiaire avant dattr la poignée de la porte :
-Alors lescabot, se trouve juste ici, tu vois ? Derrière la porte ! Super pratique bien sûr !
« Ouf ! » Soulagée de le voir rouvrir la porte après avoir attr léchelle, Élodie se remet à respirer. Mais son répis est de courte durée puisquil poursuit :
-On va en profiter, tu vas me récupérer le classeur de 2015, tu le vois, celui qui est là haut ?
« Evidemment ! » Ne pouvant réprimer une petite grimace, la jeune stagiaire contourne le quadra et monte les trois marches du petit escabot. Malheureusement, le classeur est tout juste hors de sa portée :
-Bon va falloir faire un petit effort petite, attends je taide !
Il plaque ses deux mains sur les hanches de la gamine, son visage rougeot juste au niveau des fesses de ladolescente.
-Oui cest ça ! Prends appui avec ta main droite si besoin !
Élodie est contrainte de basculer en avant, elle pose la main sur une étagère et sétire pour attr la tranche du classeur. Le souffle du quadra sur le haut de ses cuisses la perturbe, et il se permet même de glisser ses mains un peu plus bas sur les hanches, ses pouces frôlant dangereusement le pli fessier de la gamine, juste à la limite du bas de sa jupe.
Secouant ses gros nichons, à peine soutenus par la matière élastique de son petit haut, la brunette parvient enfin à tirer le classeur à elle, juste avant que le bonhomme un peu trop entreprenant ne soulève sa jupe et nexpose son abricot dénudé.
Elle contracte ses fesses pour se redresser et fait volte face avant que le vieux vicieux ne profite trop de la situation. Dans le mouvement, la main gauche de Martin, qui avait glisser au niveau de sa cuisse, passe brièvement sous le pli de la jupe portefeuille, et Élodie sent le bout des doigts inquisiteurs frôler son pubis imberbe exposé.
La petite stagiaire rougit instantanément, « Merde la conne ! Putain » Elle se demande sil a senti sa nudité. Malheureusement, le regard de son collègue ne dévoile rien de lexpérience, dun côté, il a cette expression de soulagement davoir confirmer un certain soupçon, mais le détachement presque insensible laisse planer un doute dans lesprit embrumé de la gamine à la chatte aux abois.
Elle sempresse alors de descendre du petit marche pied et tend le classeur au barbu afin de mettre de la distance entre eux. Sans perdre de temps, elle sort du vestibule, suivi par le quadra, sans même se retourner, de peur de lire autre chose dans le regard froid de son collègue.
Ladolescente file sasseoir à son bureau et évite de croiser le regard de Martin, lorsque ce dernier invite Danny et Mick à prendre un café. Élodie se retrouve seule avec le trentenaire qui vaque à ses propres occupations. Elle a limpression dêtre observée, mais se dit quelle se fait certainement des idées.
Sa chatte la titille dangereusement, et linterruption des caresses de Mr. Grosbout narrange pas la situation. Ces tétons sont durs et hyper sensible sous le tissu élastique, et elle sent bien ses muqueuses shumidifier après les derniers attouchements. Elle veut se changer les idées, et file se planquer dans le stock de fournitures quelle a repéré à côté des archives. Et de toute façon il lui faut bien un cahier et des stylos « cest le minimum ! »
Lorsquelle longe le couloir désert, elle repère la machine à café où ses trois collègues rient à gorge déployée. Elle se demande sils parlent delle, mais ne sattarde pas, histoire quils ne la repèrent pas. Elle trouve finalement ce quelle cherchait et sapprête à retourner à son bureau. Elle sort du stock et fait demi tour après avoir refermer la porte lorsquelle percute Danny et Mick.
-Oups pardon, jvous avais même as vue ! Leur répond telle toute gênée, stylos en main et le cahier plaqué contre sa poitrine.
-HAHAHA
. Mais cest pas grave ma belle ! Lui répond Danny le bras tendu contre la cloison, bloquant le passage.
-Oui tinquiète pti cul ! On est pas aux pièces, on peut faire un peu connaissance aussi !
Mick passe ses doigts dans les boucles de la jeune fille, et ne cache même pas le sourire prédateur qui fait froid dans le dos de la gamine légèrement secouée par un frisson dinconfort. Sa respiration se raccourci, elle ne sait pas quoi faire, seule dans ce long couloir désert.
Mais à cette impression dimpuissance se mêle quelque chose de plus sournois, de plus primitif. Les deux hommes dégagent une sorte dassurance prédatrice et dominante qui déclenche une sorte détat de soumission chez la jeune fille.
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Ecrit en collaboration avec le génialissime auteur pervers HDS : Silveradd
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